mercredi 28 février 2018

mercredi 21 février 2018

Orbe de Dani

Pour "Cercles, Orbes, Oves"
 


lundi 19 février 2018

à Christophe B, mail-arteeth

"Parce qu'un timbre a aussi des dents" dixit Christophe B.
 
 
 
elle est arrivée, ici :

dimanche 18 février 2018

à Céline C

 

samedi 17 février 2018

mercredi 14 février 2018

de Céline C

 

mardi 13 février 2018

samedi 10 février 2018

à Philippe V

envoyé en deux morceaux,
arrivé à destination...
 


dimanche 4 février 2018

samedi 3 février 2018

article dans la Nouvelle République

  
Dans l’igloo de Jean-Charles Boilevin, Pascaline Duchemin-Pinard et Amélie Fleureau ont présenté leur bel ouvrage « Au Hasard », lors de l’inauguration.
© Photo NR
        
Lors de l’inauguration du nouvel espace du Paravent d’un instant, organisée samedi dernier, Pascaline Duchemin-Pinard et Amélie Fleureau ont présenté leurs textes et photos dans un igloo insolite. Des extraits de leur ouvrage à quatre mains ont rassemblé tous les publics. Assemblé et monté pour la circonstance, cet icosaèdre tronqué a rassemblé les visiteurs jusqu’au soir. L’auteur de cet habitat en bambou, Jean-Charles Boilevin, avait aussi transformé l’intérieur de l’igloo en grosse boîte aux lettres.
 Au Paravent, il anime un atelier de mail-art (art postal). Cette pratique consiste à créer des courriers artistiques et à les échanger par la poste. A l’heure des mails, c’est singulier mais c’est un lien fort avec cette cabane de nomades qui a demandé deux heures de montage !
« Il existe plusieurs versions de l’igloo en d’autres matériaux. L’objectif : économie de moyens, efficacité au démontage. Cela fait vingt ans que je bosse là-dessus. A Djibouti, l’ensemble plié était porté par un chameau ; ici l’igloo tient sur la galerie de ma voiture », a expliqué le concepteur.
Le Paravent d’un instant, Ateliers et stages au 68, rue de la Mairie ;
asso.leparavent37@gmail.com

exposition d'art postal à domicile


De gauche à droite et de haut en bas : une enveloppe de Jean-Paul P, une boîte d'allumettes décorée en attente d'envoi à Florence Gillot qui les collectionne, la carte de vœux 2018 des éditions Nathan, une carte postale du Taj-Mahal de mon filleul à l'école d'infirmier Bastien R (parti en Inde pour un stage infirmier), un dessin de mon père, une enveloppe peinte de Christophe Renoux, hébergeur de la 8ème journée mondiale du faux timbre d'artiste, une carte-collage de Jon Foster (Caroline du Nord), la carte de vœux de Laure G, une voisine, une carte de vœux de Maryse M,
un collage/décollage de Christian Alle (animateur de la revue Nada-Zéro), un exemplaire de ma carte de vœux pour 2018 (envoyée à plus de 120 destinataires cette année), le courrier pour les vœux de nouvelle année d'Aristide 3108, le courrier de Jean-Paul P (qui se trouvait dans l'enveloppe), un envoi (enveloppe + photo) de Dani pour le thème "cercles, orbes, orves", un autre collage/décollage de Christian Alle et enfin une photo de mon cousin avec sa femme et ses enfants.
 

en photo dans le journal



Dans l’igloo de Jean-Charles Boilevin, Pascaline Duchemin-Pinard et Amélie Fleureau ont présenté leur bel ouvrage « Au Hasard », lors de l’inauguration.
© Photo NR        

Lors de l’inauguration du nouvel espace du Paravent d’un instant, organisée samedi dernier, Pascaline Duchemin-Pinard et Amélie Fleureau ont présenté leurs textes et photos dans un igloo insolite. Des extraits de leur ouvrage à quatre mains ont rassemblé tous les publics. Assemblé et monté pour la circonstance, cet icosaèdre tronqué a rassemblé les visiteurs jusqu’au soir. L’auteur de cet habitat en bambou, Jean-Charles Boilevin, avait aussi transformé l’intérieur de l’igloo en grosse boîte aux lettres.
 Au Paravent, il anime un atelier de mail-art (art postal). Cette pratique consiste à créer des courriers artistiques et à les échanger par la poste. A l’heure des mails, c’est singulier mais c’est un lien fort avec cette cabane de nomades qui a demandé deux heures de montage !
« Il existe plusieurs versions de l’igloo en d’autres matériaux. L’objectif : économie de moyens, efficacité au démontage. Cela fait vingt ans que je bosse là-dessus. A Djibouti, l’ensemble plié était porté par un chameau ; ici l’igloo tient sur la galerie de ma voiture », a expliqué le concepteur.
Le Paravent d’un instant, Ateliers et stages au 68, rue de la Mairie


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